L'électro-sensibilité est une pathologie environnementale qui se manifeste lorsque le seuil de tolérance aux ondes électromagnétiques est dépassé ; ce seuil est plus ou moins élevé selon les individus ; il dépend également de la quantité, de la puissance des ondes et de la durée de l’exposition : avec un « trop-plein » d’ondes électromagnétiques, l’organisme sature et dépasse son « capital ondes » ; de la même façon qu’avec trop de soleil et trop longtemps, on dépasse son « capital soleil » et on peut développer un cancer de la peau, avec trop d’ondes électromagnétiques sur le long terme, on peut également épuiser son « capital ondes électromagnétiques » et devenir EHS (électro-hyper-sensible).
Dans ce domaine, on n’est pas égaux face aux ondes électromagnétiques… Et même on peut dire qu’on ne naît pas égaux face aux ondes ! En effet, un facteur génétique peut entrer en ligne de compte…
L’hypersensibilité (en général) est un phénomène répandu. On connaît les manifestations émotionnelles chez certains individus qui ressentent tout « à fleur de peau »… Mais l’hypersensibilité peut également se révéler dans le domaine des sens : ainsi des intolérances aux odeurs ou aux produits chimiques, et maintenant mieux connus : les intolérances aux ondes.
Cette hypersensibilité aux ondes électromagnétiques pourrait provenir partiellement du patrimoine génétique de l’individu, et d’un plus grand nombre de magnétosomes dans leur cerveau.
L’hypersensibilité est très souvent multiple chez un même individu : l’électro-sensibilité s’accompagne très souvent d’une chimico-sensibilité (hypersensibilité aux produits chimiques), comme si ces deux troubles se renforçaient mutuellement.
Elle peut aussi être augmentée par la maladie de Lyme, le stress, certains aliments comme le gluten, le lactose, le sucre ou encore les perturbateurs endocriniens.
Les personnes devenues électro-hyper-sensibles ont en général une barrière hémato-encéphalique ouverte. Mais pour la refermer il n'existe pas à ce jour de solution médicale : il est donc déterminant de limiter son exposition électromagnétique au maximum afin de stopper l’aggravation de sa santé, voire de l'améliorer. Et de recourir à des solutions complémentaires qui sont ici évoquées de manière non exhaustive.
Sans une éviction drastique des ondes électromagnétiques dans son environnement, l'état inflammatoire des personnes électro-sensibles ne peut que perdurer, voire s’aggraver ; des traitements qui seraient préconisés par un professionnel de santé attentif au problème (ils sont encore peu nombreux et il reste encore beaucoup à découvrir) n’auraient qu’une efficacité médiocre et très limitée dans le temps si les ondes électromagnétiques continuent d’aggraver au long cours l’état de l’individu.
C'est pour cette raison que la première chose à faire est de faire appel à un conseiller en environnement électromagnétique. Celui-ci, avec un matériel de mesures qui doit être de qualité et multiple, réalise un bilan minutieux et méthodique des lieux de vie et/ou de travail ; il repère toutes les sources d’émission d’ondes électromagnétiques qui peuvent entrer ou qui se trouvent dans le local à protéger. Cela va des ondes envoyées par les antennes relais, de sa propre box Wi-Fi…ou celle du voisin, de l’émetteur d’un DECT (téléphone sans fil à portée limitée) ou d’un téléphone mobile, de l’électricité sale générée par un compteur dit intelligent (Linky…) et qui se répand partout par les câbles et le réseau électrique intérieur. Le conseiller mesure toutes les fréquences associées à ces sources et vérifie la valeur de la terre ; il peut alors préconiser toutes les solutions techniques pour faire baisser la charge des champs électromagnétiques (CEM ) et atteindre les niveaux recommandés par les scientifiques les plus avancés dans ce domaine. Ce travail d’investigation est fait dans tout l’espace à protéger, et surtout dans la zone nuit qui doit être la moins exposée. En effet, le sommeil permet aux cellules de se régénérer et il est donc impératif de se ressourcer au mieux afin de pâtir le moins possible des ondes électromagnétiques absorbées durant la journée.
Réduire les ondes électromagnétiques peut éviter de basculer dans l’extrême sensibilité !
Lorsqu’un électro-sensible se trouve dans un endroit fortement exposé par les ondes, il peut recourir à des vêtements anti-ondes (contenant argent et cuivre) tels que tee-shirt, caleçon, couvre-chef…Grâce à ces vêtements, certains peuvent continuer à travailler dans des bureaux pourtant pollués par les ondes. Des équipements plus couvrants encore existent pour permettre de voyager en avion où les ondes malheureusement ne sont pas absentes…
Mais attention : tous les tissus anti-ondes que l’on trouve sur le marché ne se valent pas et certains laissent encore passer un nombre non négligeable de fréquences d'ondes électromagnétiques.
D’une manière générale, il faudra, à la base, toujours se vêtir le plus sainement possible en privilégiant les vêtements en fibres naturelles (coton, lin, cuir... etc.) car les fibres synthétiques retiennent beaucoup plus les charges électromagnétiques.
De la même façon que les ondes électromagnétiques pénètrent dans le corps et font des ravages particulièrement dans le cerveau, certaines substances que le corps peut accumuler par ailleurs augmentent la sensibilité aux ondes électromagnétiques et forment avec elles une synergie délétère. Il s’agit donc là aussi de les éliminer ou les réduire très fortement.
L'intoxication aux métaux lourds est une des causes qui augmentent la sensibilité électromagnétique car le métal fait office de récepteur d’ondes, en quelque sorte « d’antenne ». Il est donc très important de déceler une éventuelle intoxication aux métaux lourds et le cas échéant de se faire accompagner par un professionnel de santé maîtrisant le sujet, une des solutions passant par une chélation des métaux lourds.
Mais d’où viennent les métaux lourds qui peuvent s’accumuler dans notre corps ? Tout d’abord amalgames dentaires et métaux lourds sont très souvent associés. L’usage des amalgames improprement appelés plombages s’est répandu au cours du XIXème siècle. Certes ils permettent de boucher efficacement une carie, mais ils ne sont pas inoffensifs. Comme leur nom ne l’indique pas, les plombages ne contiennent pas de plomb… par contre ils sont composés grossièrement de 50% d’un alliage métallique (argent, étain, cuivre) et 50% de mercure, lequel est un métal particulièrement nocif à la santé. Or, bien que l’amalgame durcisse fortement, il n’empêche que d’infimes éléments en sont peu à peu relargués dans le corps par diverses occasions d’abrasion : le polissage par le dentiste (actuellement un protocole très strict permet de limiter la vaporisation du mercure au cours de cette tâche), le brossage des dents avec des produits trop agressifs, la mastication des aliments, le mâchage prolongé de gommes à mâcher, la température trop élevée de certains aliments ou encore leur nature chimique.
Bien qu’ils continuent (en 2020) à être autorisés en France (contrairement à certains autres pays), les « plombages » laissent place de plus en plus, fort heureusement, à des « amalgames » nouvelle génération (résines composites, ciments ionomères, eux aussi pas totalement inoffensifs); mais cependant nombreux sont ceux qui ont encore des « plombages » au mercure en bouche…
Les amalgames au mercure ne sont pas les seuls « fournisseurs » de métaux en bouche : une couronne dentaire, un implant peuvent être autant de sources métalliques qui peuvent faire office de mini antenne relayant des ondes et fréquences radio…
A noter que les métaux lourds peuvent aussi pénétrer dans le corps par ingestion, inhalation ou encore contact. Car ces métaux se trouvent partout : alimentation, vaccin, peintures, essence au plomb…et même, on n’y pense pas suffisamment, dans les bijoux en métal, piercing, lunettes en métal, stérilets…
Pour des raisons génétiques semble-t-il, le mercure peut être insuffisamment éliminé par les urines.
En effet environ 25% de gens ne disposeraient pas du gène APO-E3 ou 4 ou les deux, ce qui empêche le mercure de s'évacuer de leur corps : ainsi, avec l’accumulation des métaux lourds, ils sont de plus en plus intoxiqués par ceux-ci et particulièrement par le mercure. Soluble dans les lipides, celui-ci peut pénétrer dans la cellule, impacter différents organes et tissus et participer à « ouvrir » différentes barrières (placentaire…etc), en particulier la barrière hémato-encéphalique. Le cerveau, ainsi fragilisé, devient alors beaucoup plus vulnérable aux ondes électromagnétiques et aux produits chimiques.
Seul un professionnel de santé maîtrisant bien le sujet de l’intoxication par les métaux lourds saura confirmer ou infirmer une possible intoxication.
Mais pour ce qui est des amalgames fautifs, les dentistes capables de les déposer avec toutes les précautions recommandées ne sont pas légion, malheureusement.
Un vote de 2016 au Parlement européen devrait se concrétiser fin 2022 par l’éviction définitive du mercure dans la restauration dentaire.
L’alimentation est une autre source possible d’intoxication par le mercure ; en particulier les gros poissons qui, comme le thon, sont au bout de la chaîne alimentaire marine et par là même peuvent concentrer des quantités non négligeables de mercure.
Autre pathologie souvent associée à l’EHS : la MCS (Multiple Chemical Sensitivity ou chimico-hyper-sensibilité)
En effet, environ 60% des électro-sensibles sont également chimico-sensibles. Il est donc très important de réduire drastiquement son environnement chimique : en particulier produits d'entretien courants, parfums, cosmétiques…etc. La solution pour lutter contre l’électro-sensibilité / chimico-sensibilité se trouve dans leur éviction autant que possible au profit de produits plus naturels.
C'est un sujet épineux qui entraîne des controverses chez les scientifiques ; mais il semblerait que les champs électromagnétiques rendraient les bactéries véhiculées dans le cas de la maladie de Lyme beaucoup plus actives et virulentes, et favoriseraient leur multiplication.
Les médecins attentifs aux problèmes générés par la maladie de Lyme, (ils ne le sont pas tous !), ainsi que de nombreux électro-sensibles, constatent une nette amélioration de l’état du patient lorsque celui-ci met en place une hygiène électromagnétique dans son environnement. Celle-ci semble donc une solution à l’électro-sensibilité importante. Car dans les faits, il semble que les ondes « réveillent » ou multiplient les bactéries de « Lyme » (Borrelia…), comme « Lyme » accentuerait la sensibilité aux ondes. L'interaction entre les deux engendrerait une synergie très néfaste.
Aucun test pour dépister la maladie de Lyme n’est fiable à 100%. De plus, les médecins qui sont connus pour être devenus de facto des « spécialistes » de cette pathologie ne sont pas nombreux.
C’est pourquoi baisser les ondes de son environnement et accompagner cette précaution d’exercices physiques est un début de réponse incontournable à ce problème…
Limiter au maximum ou même supprimer de son alimentation certains produits :
Ainsi le gluten et le lactose qui joueraient un rôle dans l’aggravation de la sensibilité électromagnétique et en particulier dans l'ouverture de la barrière hémato encéphalique.
Le sucre peut également être problématique : bien souvent les personnes ayant des pathologies chroniques ont également une candidose ; il est donc également conseillé de vérifier ce problème éventuel et, s’il y a lieu, de limiter le sucre.
Une partie non négligeable d'électro-sensibles trouve déjà un certain soulagement dans ces limitations.
Boire une eau de qualité, avec un Ph faible, est également très important, de même que privilégier dans son alimentation des produits permettant de se détoxiquer, de lutter contre le stress oxydatif et soutenir ses organes (à commencer par le foie). Un spécialiste de santé pourra ainsi utilement accompagner l’EHS par ses conseils sur le type d’aliments, vitamines, antioxydants et minéraux à privilégier et lui éviter des carences sur le plan alimentaire.
Une activité physique soutenue est très importante pour les personnes électro-sensibles, comme d’ailleurs pour toutes celles qui souffrent de pathologies chroniques environnementales, car elle participe à la détoxication des organes qui chez elles en général fonctionnent mal. Exercer un sport quotidiennement est l’idéal pour aider à alléger leur travail. A chacun de choisir « son » sport comme solution à l’électro-sensibilité.
La marche à pieds nus :
Le sport quotidien peut être a minima la marche. Mais pour les électro-sensibles, la marche à pieds nus apporte un vrai plus, car le contact direct avec le sol permet de décharger le corps des ondes électromagnétiques qu’il a accumulées. En vacances en particulier, dans la mesure du possible, il ne faudrait bouder aucune occasion de se reconnecter au sol en marchant pieds nus. Le summum étant la marche sur le sable humide et salé d’une plage…Certains habitants de nos côtes n’ont d’ailleurs pas attendu ce genre de recommandation pour ressentir tout naturellement qu’une marche quotidienne dans ces conditions fait partie des solutions à leur électro-sensibilité.
Comme en témoigne l’expérience des Scandinaves, le sauna est également un bon moyen pour se détoxiquer; en favorisant une transpiration abondante, les toxines qui n’auraient pas été suffisamment évacuées par des organes « paresseux » sont alors évacuées par la peau. C’est donc une solution à l’électro-sensibilité à étudier de près, sachant que les saunas à infrarouge sont encore plus efficaces (…mais encore faut-il que le champ magnétique et électrique soit faible dans ce lieu de sudation; sinon cette intéressante solution à l’électro-sensibilité risque de ne pas en être une…).
A moins d’habiter en altitude, il n’est pas courant (en général c’est même impossible !) d’y séjourner plusieurs semaines d’affilée. Pourtant il faut savoir qu’un séjour prolongé à une altitude moyenne (entre 700 et 1000 m) est tout à fait bénéfique. En effet en montant en altitude, la pression atmosphérique diminue et donc la pression en oxygène que nous inspirons aussi. Notre corps est alors amené à réagir par différents moyens (et d’abord par une respiration plus rapide). Et au bout d’un certain temps, il se met à produire plus de globules rouges : le sang se charge alors de plus d’oxygène en passant par les poumons, oxygène qui est donc ensuite transmis en plus grande quantité aux divers organes et aux muscles. Les sportifs connaissent bien ce principe et, pour augmenter avant une compétition le nombre de leurs globules rouges vecteurs d’oxygène, s’entraînent volontiers en montagne. Heureux donc les électro-sensibles qui habitent en montagne ou qui peuvent y séjourner fréquemment…
Rééquilibrer les énergies permet d’améliorer l’état des électro-sensibles et pour cela, différentes techniques existent, comme l’ostéopathie énergétique.... Mais pour mettre toutes les chances de son côté, il faut, dans la mesure du possible, s’assurer de la faible charge en ondes électromagnétiques du cabinet du praticien. Sinon le résultat sera limité… Cette recommandation est valable pour les divers cabinets médicaux ou paramédicaux évoqués dans d’autres paragraphes de cet article.
Les neurosciences et en particulier l’étude du cerveau ont ouvert un champ prometteur dans la recherche de solutions aux problèmes des hypersensibilités environnementales, troubles somatiques complexes comme l’électro-sensibilité, la fibromyalgie…etc. Sans doute y a-t-il beaucoup à découvrir encore dans ces méthodes qui permettent, entre autres, de soutenir le mental. Mais d’ores et déjà, certaines méthodes ont montré, par leur impact positif, qu’elles font partie des solutions à l’électro-sensibilité : ainsi l’EMDR, la méthode Annie Hopper ou encore le Gupta Program...
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Le stress (qu’il soit professionnel, familial, personnel) peut également jouer un rôle non négligeable dans l'augmentation des symptômes de toutes les maladies chroniques d’une manière générale. Dans ce cas, une solution à l’électro-sensibilité est de faire un stage de gestion du stress, ou de pratiquer au quotidien une technique de contrôle de son corps, de ses émotions (méditation, yoga…etc), de s’appliquer à mettre dans son quotidien douceur et harmonie; tout cela s’avère une aide précieuse pour améliorer l’état de santé des électro-sensibles.
En raison de leur taille, de la finesse de leur barrière hémato-encéphalique et de la teneur en eau proportionnellement plus élevée de leurs tissus (environ 78% pour un bébé contre quelque 60% pour un adulte), les enfants sont bien plus sensibles aux ondes que les adultes.
Il est donc crucial de les évincer ou les baisser au maximum en premier lieu dans la pièce où ils dorment : là, les ondes doivent être extrêmement limitées.
Malheureusement au niveau de l’école, la tendance ne va pas forcément dans le bon sens car l’Education Nationale ne prend pas suffisamment en compte la menace des ondes. L’école publique fait une large place au numérique et au raccordement par Wi-Fi…Les écoles privées seraient, elles, plus attentives au problème mais cela a un coût. Les associations de parents ont, dans ce domaine, certainement un rôle décisif à jouer pour sensibiliser et faire pression afin d’obtenir pour les enfants un environnement plus sain au niveau des ondes. Cela va des solutions très basiques (comme exiger que les enfants ayant un téléphone portable le ferment et le mettent dans une boîte spéciale « gérée » par l’enseignant) à des solutions plus larges préconisées par un conseiller en hygiène électromagnétique après étude du lieu. Ce n’est pas sans raison que les patrons des grandes firmes informatiques américaines limitent drastiquement voire interdisent à leurs enfants les écrans à la maison, et même choisissent pour eux des écoles sans ondes électromagnétiques.
En 2016, l’ANSES a d’ailleurs recommandé de porter, en ce qui concerne les ondes électromagnétiques, une attention toute particulière aux enfants car ils sont reconnus plus sensibles que le reste de la population ; l’Agence a également appelé à reconsidérer les niveaux de référence visant à limiter l’exposition aux CEM.
Il faut de plus rappeler que dans la loi Abeille du 9 février 2015 les enfants étaient déjà l’objet d’attentions spécifiques.
On sait la pression énorme exercée par la plupart des administrés sur leurs maires afin que leurs zones d’habitation ou de travail soient le plus possible couvertes par les réseaux divers (à commencer par les réseaux de téléphonie mobile)
Pourtant pour les électro-sensibles les plus atteints, qui vivent dans un confinement maximal et des conditions de vie très difficiles, une zone blanche serait sur le point de voir le jour (zone de vie exempte de champs électromagnétiques). En effet, l’association AZB soutenue par la députée européenne Michèle Rivasi s’emploie à ce que soit créée une telle zone qui serait financée par les pouvoirs publics. Cette zone blanche serait implantée dans le hameau de Durbon sur la commune de St-Julien-en-Beauchêne dans les Hautes-Alpes. Cet endroit, protégé des ondes par les montagnes qui l’entourent, avait été choisi précédemment pour y établir un centre de vacances et les bâtiments subsistant ont des murs de pierre très épais laissant très peu passer les ondes. Cette zone permettra d’offrir une solution à l’électro-sensibilité des personnes les plus atteintes en leur permettant de se ressourcer par périodes. Un centre de recherches sur l’électro-sensibilité ainsi qu’un pôle médical (médecin, dentiste, ostéopathe… etc) pourraient compléter ce lieu de séjour. Cette zone blanche serait une solution d'urgence bienvenue pour les EHS les plus sévères.
D’autres solutions à l’électro-sensibilité existent et, en tant que conseiller en environnement électromagnétique, je suis là pour les partager avec vous lors d’un diagnostic à votre domicile ou lieu de travail, contact ici
Mon métier, c’est d’apporter des solutions à l’électro-sensibilité des personnes qui en souffrent, mais aussi d’éviter à celles qui n’en souffrent pas d’y sombrer. Car nous avons tous intérêt à limiter dans le quotidien notre exposition aux ondes électromagnétiques.